Inauguration du pont Alassane Ouattara de Guiglo ; les cadres et élus locaux exhortés à la cohésion dans le Tonpki ; Les structures de jeunesse du Cojep demandent aux autorités ivoiriennes de rétablir Charles Blé Goudé dans ses droits civiques et politiques. Allons ensemble pour les temps forts de l’actualité ivoirienne du lundi 09 septembre au dimanche 15 septembre 2024.
Le Vice-Président de la République monsieur Tiémoko Meyliet Koné, a procédé, ce samedi 14 septembre 2024, à Guiglo, dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire, à l’inauguration du ‘‘pont Alassane OUATTARA’’ construit sur la rivière N’Zo, à l’entrée de la ville.
Le ‘‘pont Alassane OUATTARA’’ de Guiglo est un ouvrage de 112 mètres de long, d’une largeur de 12,57 mètres, avec deux voies de 3,5 mètres chacune, offrant désormais une circulation dans les deux sens. Le coût global est de 8 milliards de FCFA.
Par ailleurs, l’Union des Femmes du Congrès panafricain pour la justice et l’égalité des peuples (Cojep) en abrégé UF-COJEP et de l’Union des Jeunes du COJEP (UJ-COJEP) ont demandé aux autorités ivoiriennes de rétablir Charles Blé Goudé, président du Cojep, dans ses droits civiques et politiques. L’information a été rendue publique au terme du premier congrès des structures de jeunesse du Cojep tenu le samedi 14 septembre 2024 dans la commune de Cocody.
Pour terminer, le président du directoire du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Koné Kafana Gilbert, a conduit une mission dans le Tonkpi pour rassembler les cadres du parti, présidant des séances de travail préalable, avant une grande rencontre ouverte à tous les militants, jeudi 12 septembre 2024, dans la salle de réunions du conseil régional à Man.
Ces rencontres visaient à encourager les responsables locaux du parti à harmoniser leur position au sein de cette région de la Côte d’Ivoire.
« Je suis en mission pour parler de cohésion dans le Tonkpi pour que votre région si chère au président de notre parti, que cette région-là, reprenne sa dynamique (…) », a expliqué Koné Kafana, soulignant l’urgence de sa démarche. « Trop de bruits nous sont parvenus, trop de bruits sont parvenus à l’oreille du président et je ne pouvais pas, ne pas effectuer ce déplacement », a ajouté l’envoyé du parti au pouvoir.
Une sélection de Ruth Assoko
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